Clients d’Info Presse Vérifiez vos comptes
Publié le 29 mai 2024
Vous êtes ou avez été client de la société Info Presse, spécialisée dans l’abonnement à des journaux et magazines ? Nous vous conseillons de jeter un œil à vos comptes bancaires. Si vous y constatez des prélèvements indus, voici la marche à suivre.
La société Info Presse est spécialisée dans la vente d’abonnements à des magazines. En novembre 2023, cette société a été rachetée par SFK Groupe, appartenant à Indexia, le sulfureux groupe qui détient la SFAM. Depuis ce rachat, des clients, anciens comme actuels, découvrent des prélèvements indus sur leur compte bancaire. Contrairement à la SFAM et à d’autres sociétés du groupe, qui ont été placées en liquidation judiciaire, Info Presse, elle, est toujours officiellement en activité. Alors méfiance.
Si vous êtes ou avez été client de cette société, nous vous invitons vivement à vérifier vos comptes bancaires. En cas de prélèvements non souhaités, voici ce que l’UFC-Que Choisir vous conseille de faire :
1 Tout d’abord, assurez-vous que vous avez bien résilié votre abonnement auprès d’Info Presse. Si ce n’est pas encore le cas, faites-le par e-mail à service-clientele@info-presse.fr ou mieux, par courrier recommandé avec accusé de réception en conservant une preuve de votre demande, à :
Info Presse
1 rue Camille Claudel
26100 Romans-sur-Isère
2 Pointez les éventuels prélèvements indus sur votre compte bancaire, c’est-à-dire tous ceux qui n’entrent pas dans le cadre de votre abonnement.
3 Demandez-en le remboursement à votre banque. Si l’opération avait été autorisée mais que le montant n’était pas le bon ou qu’aucune somme ne figurait sur l’autorisation de prélèvement, vous pouvez solliciter un remboursement jusqu’à 8 semaines après la date du débit. Toute opération non autorisée peut être signalée dans les 13 mois suivant la date de débit.
4 Pour éviter que d’autres prélèvements ne soient effectués, nous vous recommandons de procéder à la révocation des mandats SEPA auprès d’Info Presse et de solliciter en parallèle l’opposition de ces prélèvements auprès de votre établissement bancaire. Pour vous aider, l’UFC-Que Choisir met à votre disposition deux lettres types à compléter et à envoyer :
- Révocation du mandat de prélèvement auprès d’Info Presse
- Révocation du mandat de prélèvement auprès de votre banque
Airbags défectueux Citroën rappelle plus de 600 000 voitures
Deux défauts majeurs sur les airbags de marque Takata montés sur des Citroën et des DS pouvant entraîner des blessures aux occupants avant en cas de déploiement suite à un choc ont amené le groupe Stellantis à diligenter plusieurs rappels depuis 4 ans. Mais avec plus de 600 000 voitures concernées, il est difficile de faire réparer sa voiture rapidement.
Organe de sécurité, l’airbag est censé sauver des vies. Encore faut-il qu’il fonctionne correctement. Les propriétaires de certains modèles Citroën et DS (1) en savent quelque chose. L’histoire commence, en France, il y a presque 4 ans, en septembre 2020, avec un premier rappel concernant une défectuosité des airbags de marque Takata (2). L’affaire revient sur le devant de la scène en décembre 2023 puis en avril 2024 avec de nouveaux rappels. Depuis, nombre de propriétaires ont reçu au moins une lettre recommandée. Au total, plus de 600 000 voitures doivent repasser à l’atelier.
Quel est le problème ?
Les rappels alertent sur la détérioration du gaz propulseur du coussin gonflable dans le temps, due à une exposition à des températures élevées ou à une forte humidité. Le gaz défectueux peut alors mal réagir lors du déclenchement de l’airbag en cas d’accident et déployer le coussin avec une trop grande force, entraînant avec lui des particules métalliques alors projetées vers les occupants. Les voitures vendues dans le sud de la France sont particulièrement affectées. En 2020, le rappel concernait d’ailleurs surtout les voitures vendues outre-mer.
Embouteillage dans les concessions
Avec autant de modèles qui doivent retourner en concession, c’est le grand embouteillage dans les ateliers. Et lorsqu’on essaie de joindre un concessionnaire via la plateforme téléphonique dédiée, un message tourne en boucle : « Si vous appelez suite au courrier reçu à votre domicile concernant la campagne de rappel des airbags, tapez 1 », avant d’être automatiquement redirigé vers un téléconseiller. Mais, alors que la lettre intime aux propriétaires de « cesser immédiatement de conduire [leur] véhicule », il est difficile, dans les faits, d’obtenir un rendez-vous rapidement. Et même si au téléphone on promet un véhicule de courtoisie, l’attente pour un prêt est parfois assez longue ‒ il est aussi proposé de s’inscrire sur Internet pour disposer d’une « solution de mobilité ».
Ainsi, Colinem regrette, sur le forum de Que Choisir consacré à ce rappel, de n’avoir pu contacter le réparateur sélectionné avant le mardi suivant. Lui qui aurait dû recevoir un code pour accéder à un prêt de véhicule de courtoisie n’a rien et, après plus d’une semaine, aucune solution ne lui est proposée ni aucune date pour la réparation. Même son de cloche pour Maeva3131, qui n’a aucune nouvelle après plus d’une semaine.
Il faut dire que les garagistes sont pris d’assaut. Le remplacement des deux airbags (conducteur et passager avant) demande environ 2 h de travail. Une intervention pas toujours évidente à caler dans l’agenda, comme nous le confiera le responsable d’un garage Citroën de banlieue parisienne, qui précise néanmoins que pour le moment, le nord du pays est peu concerné. S’il dispose de suffisamment de temps pour se préparer à recevoir les clients, reste l’inquiétude d’obtenir assez de pièces de rechange et, surtout, à temps.
Peut-on conduire malgré tout ?
Le risque de blessures causées lors du déploiement des airbags défectueux est réel : des décès ont malheureusement été constatés aux États-Unis dans ces circonstances. Précisons qu’il ne s’agit pas d’un déclenchement inopiné, mais bien d’un déploiement trop puissant avec projection de particules métalliques lors d’un accident.
Quelle est la responsabilité du constructeur en cas d’accident ?
Le constructeur a une obligation générale de sécurité, conformément à l’article L. 421-3 du Code de la consommation. Il résulte de cet article que « les produits et les services doivent présenter, dans des conditions normales d’utilisation ou dans d’autres conditions raisonnablement prévisibles par le professionnel, la sécurité à laquelle on peut légitimement s’attendre et ne pas porter atteinte à la santé des personnes ».
En cas de non-respect de cette obligation, le constructeur doit procéder à un rappel du produit pour prévenir des risques pour les consommateurs (art. L. 423-2 du Code de la consommation et art. R. 321-14-1 du Code de la route). En cas de dommage corporel suite à un accident avec une Citroën ou une DS dotée d’un airbag défectueux, la responsabilité du constructeur pourrait alors être engagée si le consommateur réussit à prouver qu’il n’a pas été tenu informé du fait que le produit était défectueux.
Quelles voitures sont concernées ?
Ce ne sont pas seulement certaines Citroën C3 et les DS3 qui sont concernées par ces rappels (lire encadré) et le rappel de fin 2023 concerne 5 modèles du groupe (C3, C4, DS3, DS4 et DS5). Selon nos informations, si le rappel d’avril 2024 ne concerne que les deux citadines C3 et DS3, c’est qu’elles représentent le plus gros volume et qu’il existe un risque de pénurie de pièces suite à ce rappel… il a donc fallu prioriser. Dans ce rappel, les constructeurs enjoignent les conducteurs à ne plus utiliser la voiture, ce qui a, mécaniquement, vite engorgé les concessions.
Comment savoir si je suis concerné ?
Lors d’une campagne de rappel de voitures, les constructeurs utilisent leurs fichiers clients pour envoyer leurs courriers en recommandé avec accusé de réception. Si vous avez acheté une voiture, neuve ou d’occasion, à un représentant de la marque, vous avez dû recevoir le courrier.
En revanche, pour une voiture d’occasion achetée à un particulier et si vous n’êtes jamais allé dans un garage de l’enseigne, il y a de fortes chances que vous soyez passé au travers des mailles du filet. Il faut donc soit vous rendre en concession, soit aller sur le site Internet de Citroën à cette adresse : www.citroen.fr/maintain/Recall-campaigns.html. Il suffit de renseigner le VIN (numéro d’identification du véhicule) indiqué sur votre carte grise (case E). Il se compose de 17 caractères et, pour Citroën, commence par VF7 ou VR7. Les clients peuvent également contacter le centre d’appel en France au (+33) 0805 980 402 ouvert du lundi au vendredi de 9 h à 18 h et le samedi matin de 9 h à 12 h 30.
Bon à savoir Malgré le grand nombre de pièces partagées au sein de l’alliance Stellantis (encore PSA au moment des premiers rappels avec comme marques principales Citroën, DS et Peugeot), la marque Peugeot n’est pas concernée par ces rappels d’airbag Takata.
Liste des rappels concernant les airbags Takata
26 avril 2024 – Citroën C3 et DS3
- Citroën C3 fabriquées entre le 9 avril 2009 et le 20 février 2017.
- DS3 fabriquées entre le 26 juin 2009 et le 30 mai 2019.
Motif du rappel Le propergol contenu dans les coussins gonflables du conducteur et du passager avant peut se détériorer avec le temps. Dans le cas d’un accident dans lequel les airbags se déploient, il pourrait se rompre avec trop de force, blessant les occupants du véhicule.
Codes du rappel : MN9 et MK7
1er décembre 2023 – Citroën C3, C4, DS3, DS4 et DS5
- C3 fabriquées du 24 septembre 2008 au 21 février 2017.
- C4 fabriquées du 2 février 2010 au 20 mai 2018.
- DS3 fabriquées du 5 décembre 2008 au 30 mai 2019.
- DS4 fabriquées du 5 mai 2010 au 3 février 2017.
- DS5 fabriquées du 30 juin 2010 au 9 février 2018.
Motif du rappel La structure des airbags du conducteur et du passager avant peut se détériorer. Si les coussins gonflables se déploient, cela pourrait entraîner la projection de fragments du gonfleur blessant les occupants du véhicule.
Code du rappel : JGU
17 octobre 2023 – Citroën C3 et DS3
- Citroën C3 et DS3 des années 2009 à 2017.
Motif du rappel La structure des airbags du conducteur et du passager avant peut se détériorer. Si les coussins gonflables se déploient, cela pourrait entraîner la projection de fragments du gonfleur blessant les occupants du véhicule.
Code du rappel : JZD
16 septembre 2020 – Citroën C3, C4, DS3, DS4 et DS5
- C3 fabriquées du 2 septembre 2009 au 10 février 2017.
- C4 et DS4 fabriquées du 26 avril 2012 au 12 avril 2017.
- DS3 fabriquées du 14 octobre 2009 au 9 février 2017.
- DS5 fabriquées du 21 novembre 2011 au 17 février 2017.
Motif du rappel Le gonfleur de l’airbag peut subir une altération matérielle au fil du temps après une exposition prolongée à l’ humidité et/ou à des températures élevées. En cas de déploiement d’un coussin gonflable, la pression interne excessive peut provoquer une rupture du corps du gonfleur et des fragments métalliques peuvent traverser le matériau du coussin, causant des blessures aux occupants.
Codes du rappel : GYB, GYC et GYY
(1) Au cours de leur carrière, certains modèles ont changé de nom lorsque DS est devenue une marque à part entière en 2014. Ainsi, les Citroën DS3, Citroën DS4 et Citroën DS5 sont depuis baptisées DS3, DS4 et DS5.
(2) L’entreprise japonaise Takata a déposé le bilan mi-2017 à la suite de nombreux problèmes et rappels diligentés aux États-Unis dès 2013. Au total, outre-Atlantique et au Japon, environ 90 millions de voitures produites par une vingtaine de constructeurs ont été concernées par des rappels.
SFAM -Comment bien déclarer sa créance
Vous êtes une victime de la SFAM, la société spécialisée dans l’assurance de matériel multimédia qui va de déboires en condamnations ? Il est temps pour vous de déclarer votre créance en ligne. Voici comment effectuer cette démarche sans se tromper.
Après son placement en liquidation judiciaire, le 24 avril dernier, les mandataires recensent les actifs et le passif de la SFAM. Chaque victime de la SFAM, et uniquement de la SFAM – les autres sociétés du groupe Indexia (Hubside, Serena, Cyrana…) ne sont pour l’heure pas concernées –, est tenue de déclarer sa créance dans un délai d’environ 2 mois. Si les chances de récupérer son argent par ce biais sont quasi inexistantes, cette démarche est importante dans le cadre d’éventuelles procédures à venir.
Pour cela, rendez-vous sur le site www.sfam-lj.fr (espace créancier). Si vous avez reçu des identifiants de la part du mandataire, utilisez-les pour vous connecter à votre espace en ligne. Dans le cas contraire, cliquez sur « Déclaration spontanée en ligne » puis acceptez les conditions. Voici quelques conseils pour remplir au mieux le formulaire.
Étape 1 – Renseignez votre créance
Remplissez les champs, en prenant certaines précautions :
Prénom
Même si cette information n’est pas obligatoire, mieux vaut l’indiquer pour limiter les risques de confusion en cas d’homonymie.
Référence
Cette mention concerne les sociétés créancières. Les consommateurs n’ont rien à renseigner.
Informations de la personne chargée de vous représenter et de suivre l’état de votre créance dans le cadre de la procédure
Il est tout à fait possible de déclarer une créance pour le compte d’un tiers (parent, enfant, etc.). Dans ce cas, fournissez les informations liées à la victime dans la partie « Informations créancier », puis cochez la case « Avec un représentant pour votre créance ? ». De nouveaux champs apparaîtront, que vous complèterez avec votre propre identité. Si la victime se fait représenter par un avocat, il remplira ces champs avec ses coordonnées.
Montant déclaré en euros
Il s’agit du montant total que vous demandez. Celui-ci peut inclure les prélèvements abusifs, les services non assurés, les frais annexes, etc. Toutes les sommes doivent pouvoir être étayées par des pièces justificatives.
Observations
Dans cette zone, vous devez détailler le calcul du montant inscrit au-dessus et indiquer la nature de votre créance. Il existe deux options : la créance chirographaire à titre provisionnel ou la créance privilégiée.
Créance chirographaire à titre provisionnel
Votre créance n’a pas été reconnue par la justice et vous ne bénéficiez d’aucune sûreté ou garantie assortissant cette créance (privilège, nantissement, hypothèque, etc.). Votre créance est donc de nature chirographaire et doit être déclarée « à titre provisionnel ». Nous vous proposons de retranscrire le texte suivant en l’adaptant à votre situation :
La créance déclarée correspond à une créance provisionnelle, de nature chirographaire, d’un montant total de [montant en euros à préciser], outre intérêts au taux légal, certifiée sincère, et se décomposant comme suit [précisez le détail des sommes] :
- Créance au titre des demandes de remboursement et/ou de dommages et intérêts formulées contre la SFAM pour prélèvements injustifiés et indûment opérés dans le cadre d’un contrat d’assurance souscrit le [date à préciser] et résilié le [date à préciser] : [montant en euros à préciser] ;
- Créance au titre de l’indemnisation de mon préjudice moral évalué à hauteur de : [montant en euros à préciser].
[Si vous vous êtes déjà constitué partie civile dans le cadre du procès pénal ou entendez le faire, ou si vous avez déjà engagé une procédure civile contre la SFAM et que celle-ci est en cours :]
- Créance au titre de l’indemnité sollicitée, en application de l’article 700 du Code de procédure civile/475-1 du Code de procédure pénale pour compenser les frais irrépétibles engagés dans le cadre de la procédure pendante devant [à compléter par le nom de la juridiction actuellement saisie] : [montant en euros à préciser].
Je précise que [à choisir en fonction de votre cas] :
- je me suis déjà constitué partie civile devant le Tribunal Correctionnel de Paris dans le cadre du procès à venir prévu à compter du 23 septembre 2024 et je compte me constituer partie civile devant le Tribunal Correctionnel de Paris dans le cadre du procès prévu à compter du 23 septembre 2024.
[ou]
- je suis déjà partie à un procès civil dans le cadre d’une action diligentée contre la SFAM devant le [précisez le nom et le lieu de la juridiction devant laquelle votre procès est en cours] sous la référence [précisez le numéro de rôle ou RG figurant sur vos convocations ou conclusions communiquées dans le cadre de ce procès].
[ou]
- je suis bénéficiaire d’une décision de justice rendue le [précisez la date] par le [précisez le nom et le lieu de la juridiction] ayant condamné la SFAM.
Créance privilégiée
Dans le cas contraire, votre créance est dite « privilégiée ». Vous devez préciser la nature du privilège ou de la garantie. Vous pouvez vous baser sur le texte suivant :
Cette créance bénéficie du privilège de [nature du privilège], elle est assortie de [nature de la sûreté].
La créance déclarée est d’un montant total de [montant en euros à préciser], outre intérêts au taux légal, certifiée sincère, et se décomposant comme suit [précisez le détail des sommes] :
- Créance au titre des demandes de remboursement et/ou de dommages et intérêts formulées contre la SFAM pour prélèvements injustifiés et indûment opérés dans le cadre d’un contrat d’assurance souscrit le [date à préciser] et résilié le [date à préciser] : [montant en euros à préciser] ;
- Créance au titre de l’indemnisation de mon préjudice moral évalué à hauteur de : [montant en euros à préciser].
[Si vous vous êtes déjà constitué partie civile dans le cadre du procès pénal ou entendez le faire, ou si vous avez déjà engagé une procédure civile contre la SFAM et que celle-ci est en cours :]
- Créance au titre de l’indemnité sollicitée, en application de l’article 700 du Code de procédure civile/475-1 du Code de procédure pénale pour compenser les frais irrépétibles engagés dans le cadre de la procédure pendante devant [à compléter par le nom de la juridiction actuellement saisie] : [montant en euros à préciser].
Je précise que [à choisir en fonction de votre cas] :
- je me suis déjà constitué partie civile devant le Tribunal Correctionnel de Paris dans le cadre du procès à venir prévu à compter du 23 septembre 2024 et je compte me constituer partie civile devant le Tribunal Correctionnel de Paris dans le cadre du procès prévu à compter du 23 septembre 2024 ;
[ou]
- je suis déjà partie à un procès civil dans le cadre d’une action diligentée contre la SFAM devant le [précisez le nom et le lieu de la juridiction devant laquelle votre procès est en cours] sous la référence [précisez le numéro de rôle ou RG figurant sur vos convocations ou conclusions communiquées dans le cadre de ce procès].
[ou]
- je suis bénéficiaire d’une décision de justice rendue le [précisez la date] par le [précisez le nom et le lieu de la juridiction] ayant condamné la SFAM.
Étape 2 – Joindre les justificatifs
À cette étape, téléchargez toutes les pièces susceptibles de justifier votre créance. Vous pouvez, le cas échéant, reprendre celles déjà fournies lors de votre constitution de partie civile. Nous vous conseillons de fournir a minima :
- le contrat souscrit avec la SFAM ;
- les relevés de compte sur lesquels apparaissent les prélèvements indus dont vous sollicitez le remboursement ;
- ainsi que toute autre pièce justifiant le bien-fondé de votre créance (préjudice moral, frais irrépétibles de procédure…).
Étape 3 – Envoyez votre créance
Cliquez sur « Envoyez votre créance » en bas de page, puis sur « J’envoie ma créance ». Vous recevrez alors un accusé de réception de votre saisie de créance. Vous pouvez aussi, en parallèle, vous abonner à la newsletter mise en place par les mandataires en cliquant sur l’onglet « Actualité » depuis la page d’accueil du site et en renseignant votre adresse mail.